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MONOGR A P H I E S
PEINTURES
MONOGR A P H I E S
PEINTURES
Jean Honoré
Fragonard
Le Verrou
Guillaume Faroult.
En coédition avec la RMN, 2007.
56 pages, broché avec rabats,
14 x 21,5 cm, 34 illustrations.
ISBN: 978-2-71185-387-8
Distribution: UD.
13,50€
Réalisée à la fin des années 1770
pour un collectionneur réputé
et exigeant, cette peinture érotique,
apparemment légère, mais affirmant
une ambition réelle, s’inscrit dans
tout un ensemble de représentations
amoureuses parfois grivoises,
éminemment représentatives
de l’esprit de la société française
à l’heure où les Lumières vont
bientôt vaciller. Elle semble
inaugurer un renouvellement
de l’inspiration de Fragonard et
de la peinture française à l’unisson.
Collection «Solo» (37)
Johann Heinrich
Füssli
Lady Macbeth
marchant
dans son sommeil
Guillaume Faroult.
En coédition avec Somogy, 2011.
56 pages, broché avec rabats,
14 x 21,5cm, 24 illustrations.
ISBN : 978-2-75720-422-1
Distribution : UD.
9,70€
Exposée à la Royal Academy
de Londres en 1784, la peinture
représentant lady Macbeth
marchant dans son sommeil
conforta sur la scène anglaise
la réputation du peintre d’origine
suisse Johann Heinrich Füssli
(1741-1825). Après dix ans d’études
à Rome, ce dernier investit
les champs d’inspiration les plus
spécifiques de sa nouvelle patrie :
le genre « sublime » et le théâtre
de William Shakespeare. Alors
que la pompeuse peinture d’histoire
rebute le public anglais, Füssli
produit une monumentale figure
tragique qui évoque les portraits
d’actrices faisant florès à l’époque.
Puissante et acérée comme
une épée, la lady Macbeth de Füssli
apparaît comme le porte-drapeau
de cette sensibilité nouvelle.
Collection « Solo » (46)
Nicolas Poussin
Les Quatre Saisons
Nicolas Milovanovic.
En coédition avec Somogy, 2013.
48 pages, broché avec rabats,
14 x 21 cm, 27 illustrations.
ISBN: 978-2-75720-789-5
Distribution: UD.
9,70€
Terminées un an avant la mort
de Poussin,
Les Quatre Saisons
constituent le testament artistique
et spirituel de l’artiste et l’un
des sommets de la peinture
du
XVII
e
siècle. C’est un cycle
qui demeure pourtant mystérieux :
aucun dessin préparatoire n’est
connu, le choix des sujets apparaît
entièrement neuf et la signifcation
profonde de l’œuvre est toujours
débattue. L’unité du cycle résulte
de la maîtrise absolue des moyens
d’expression. Il témoigne d’une
méditation profonde sur la destinée
humaine, celle d’un artiste
qui savait la mort toute proche.
Nicolas Milovanovic propose
d’éclairer l’interprétation spirituelle
de Poussin à l’aide des principaux
commentaires de la Bible édités
au cours du
XVII
e
siècle.
Collection «Solo» (62)
Ingres
La Grande
Odalisque
Dimitri Salmon.
En coédition avec la RMN, 2006.
64 pages, broché avec rabats,
14 x 21,5 cm, 50 illustrations.
ISBN: 978-2-71185-126-3
Distribution: UD.
13,50€
Sensuelle et universelle, telles sont
sans doute les deux épithètes qui
qualifient le mieux les intentions
de
La Grande Odalisque
, un tableau
emblématique d’Ingres. L’auteur
nous invite à le redécouvrir
à la lumière des recherches les plus
récentes.
Collection «Solo» (31)
Ingres
Monsieur Bertin
Daniel Ternois.
En coédition avec la RMN, 1998.
64 pages, broché avec rabats,
14 x 21,5 cm, 51 illustrations.
ISBN: 978-2-71183-749-6
Distribution: UD.
9,15€
Louis-François Bertin (1766-1841),
dit Bertin l’Aîné, était directeur,
depuis 1799, du
Journal des débats
.
L’effigie qu’Ingres a laissée
de lui est devenue l’archétype
du portrait de la grande bourgeoisie
triomphante, dont elle reflète
la puissance.
Monsieur Bertin
est unique dans l’histoire
du portrait du
XIX
e
siècle,
et dans la carrière d’Ingres.
Par une riche documentation
et une fine analyse, l’auteur
nous fait comprendre le sens
profond de l’un des chefs-d’œuvre
les plus populaires du musée
du Louvre.
Collection «Solo» (10)
Nicolas Poussin
Sainte Françoise
Romaine
Marc Fumaroli.
En coédition avec la RMN, 2000.
144 pages, broché avec rabats,
14 x 21,5 cm, 59 illustrations.
ISBN: 978-2-71184-186-8
Distribution : UD.
14,48€
En 1657, Nicolas Poussin peint
à la demande de Mgr Rospigliosi
un ex-voto. Il s’agit de rendre grâce
à sainte Françoise Romaine,
protectrice de Rome, de la fin
d’une épidémie de peste qui venait
de ravager la ville. Qui d’autre
que Poussin aurait pu donner
à cette étrange scène autant de
tension dramatique, de poésie
et de ferveur religieuse ? Ce tableau,
analysé pour la première fois,
est exceptionnel par l’originalité
de son sujet dans la carrière
de l’artiste qui, à soixante ans passés,
signe son testament religieux.
Collection «Solo» (17)