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Gérer et préserver

La prévention des risques

Prévention des risques

professionnels

En 2016, la finalisation et la réactualisation des

documents uniques d’évaluation des risques

professionnels (DUERP) se sont poursuivies.

Au premier trimestre 2016, toutes les entités

du musée en étaient pourvues. Douze de ces

documents uniques, dont onzemis à jour, ont

été présentés en comité d’hygiène de sécurité

et conditions de travail (CHSCT).

Évaluation des risques

psychosociaux

La démarche d’évaluation des risques psy-

chosociaux a été validée en mars 2016 en

comité de pilotage, après un trimestre de

phase expérimentale. Elle s’est poursuivie

avec la réalisation de sept diagnostics, dont

trois présentés en CHSCT. Fin 2016, deux

nouveaux diagnostics étaient en cours de

réalisation. En parallèle, la DRH a animé,

en mars 2016, avec l’appui de l’Agence

nationale pour l’amélioration des conditions

de travail (ANACT), un séminaire interne

dédié à la qualité de vie au travail.

Le risque incendie

Une procédure de gestion des évacuations

incendie, qui définit les objectifs à atteindre

pour garantir la sécurité des agents, a été

créée et validée en CHSCT en mai 2016.

Les directions et départements ont ensuite

fourni un travail conséquent pour désigner

les agents devant intervenir en cas d’incen-

die, les inscrire en formation puis concevoir

les consignes de sécurité incendie à afficher

dans les locaux de travail.

Les plans de prévention

Dans le cadre de l’évaluation des pratiques

et de l’amélioration continue du système de

gestion des risques, la procédure d’élabora-

tion des plans de prévention de l’Établisse-

ment public du musée du Louvre (EPML)

a été revue et complétée. Elle est entrée

en application après avoir été soumise au

CHSCT du 10 février 2016.

Analyse du travail réel

et des conditions

de travail

Une série d’actions, menées durant l’année

en concertation avec les agents et le CHSCT,

a permis d’analyser les conditions de travail

du personnel et d’agir concrètement pour

les améliorer. Elles ont consisté, pour l’es-

sentiel, en :

– l’analyse des accidents du travail et des

signalements consignés sur les 46 registres

santé et sécurité au travail ;

– des visites en milieu de travail des acteurs

de la prévention et du CHSCT ;

– l’organisation de huit groupes de travail

(accident du travail/maladies profession-

nelles, registres santé et sécurité au travail,

addictions, handicap, conflits au travail,

comité de pilotage des risques psychoso-

ciaux, DUERP, projet Pyramide) ;

– des réunions thématiques reprenant des

points discutés lors des CHSCT (légion-

nelles, pollution aux aires de livraison…).

L’intégration des

travailleurs handicapés

Depuis 2014, le musée remplit son obliga-

tion d’emploi avec un taux d’emploi légal

supérieur à 6 %. Pour la première fois en

2016, son taux d’emploi direct (seuls agents