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Nicolas Poussin
La collection
du musée du Louvre
Catalogue raisonné établi
par Pierre Rosenberg.
En coédition avec Somogy, 2015.
400 pages, relié, 24,6 × 30 cm,
250 illustrations.
ISBN: 978-2-75720-918-9
Distribution: UD.
39€
Du
Mars et Vénus
des premières
années du séjour romain à l’
Apollon
amoureux de Daphné
laissé inachevé,
sans oublier
Écho et Narcisse
,
Les Bergers d’Arcadie
, l’
Autoportrait
de 1650, le
Paysage avec Diogène
et
Les Quatre Saisons
, les peintures
de Nicolas Poussin (1594-1665)
conservées au musée du Louvre
permettent de suivre le déroulement
de la carrière du plus grand peintre
français, dont l’aventure est l’une
des plus ambitieuses de toute
l’histoire de l’art.
Le Louvre possède la plus belle
collection au monde d’œuvres
de l’artiste. Il manquait, à ce jour,
une étude et une analyse
approfondies de cet ensemble
exceptionnel. Pour pallier cette
absence, Pierre Rosenberg s’est livré
à un extraordinaire travail
de recherche, convoquant toute
sa connaissance de la peinture
et son amour pour cet artiste qu’il
étudie depuis plus de cinquante ans.
Le Comte
de Caylus et Edme
Bouchardon
Deux réformateurs
du goût sous Louis
XV
Marc Fumaroli, de l’
Académie
française.
En coédition avec Somogy, 2016.
96 pages, broché avec rabats,
13 × 20 cm.
ISBN: 978-2-75721-186-1
Distribution: UD.
7€
«Tout semblait éloigner, dans
l’ordre social et dans ses apparences,
le grand seigneur Anne Claude
de Caylus, né sur les marches
du trône, et Edme Bouchardon,
le roturier de province, né dans
une obscure famille de sculpteurs
champenois, sinon leur foi ardente
et commune dans la supériorité
des Anciens et un zèle commun
et acharné à remonter la pente
du déclin. (…)
La rencontre en janvier 1733
entre Caylus, l’amateur savant et
réformateur, et Bouchardon, jeune
sculpteur déjà célèbre à Rome et
en Europe comme la réincarnation
française des sculpteurs grecs
Polyclète et Polygnote, infléchit
leurs deux carrières alliées dans
le grand dessein de faire revivre
en France et ensuite en Europe
le pur goût grec et “à la grecque”.
(…) »
Marc Fumaroli, de l’
Académie
française
Non seulement il détaille,
pour chacun des tableaux, la date
d’exécution, le nom de son
commanditaire, celui
des collectionneurs auxquels
il appartint avant de rejoindre
les collections royales, sa place
souvent peu enviable à Versailles
au
XVIII
e
siècle, son interprétation
iconographique, son importance
pour la carrière du peintre, mais,
plus encore, il parvient à dégager
ce qui fait l’originalité de ces œuvres
dans l’art français en nous
permettant de partager leur beauté,
leur émouvante poésie, leur force :
tout ce qui, selon lui, concourt
à faire de Poussin, sans conteste,
« le plus grand peintre français ».
Avec le soutien d’Arjowiggins
Graphic.