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La Boîte à portrait

de Louis

XIV

Michèle Bimbenet-Privat

et François Farges.

En coédition avec Somogy, 2015.

64 pages, broché avec rabats,

14 x 21,5 cm, 40 illustrations.

ISBN: 978-2-75720-938-7

Distribution: UD.

9,70€

Désigné au

xvii

e

siècle sous

le nom de « boîte à portrait »,

cet objet rarissime compte parmi

les présents qui furent offerts

par centaines sur ordre

de Louis

XIV

aux souverains alliés,

diplomates étrangers, bons

serviteurs, artistes et même

valeureux adversaires combattus

sur les champs de bataille.

Seuls trois de ces objets subsistent

aujourd’hui, car la plupart

des destinataires de ces boîtes ont

soustrait les diamants qui

en faisaient toute la valeur.

Collection «Solo»

Les

Chasseurs

de Marly

et les œuvres

de Nicolas Coustou

du musée du Louvre

Geneviève Bresc-Bautier.

En coédition avec Somogy, 2015.

112 pages, broché avec rabats,

14 x 21,5 cm, 82 illustrations.

ISBN: 978-2-75720-759-8

Distribution: UD.

19€

En 1703, Nicolas Coustou sculpte

deux grands groupes de chasseurs

en marbre,

Méléagre tuant le cerf

et

Méléagre tuant le sanglier

.

Dès 1706, les œuvres sont achevées

et installées à une place d’honneur

à proximité du pavillon royal

de Marly, résidence créée par

Louis

XIV

. Les deux groupes

de Nicolas Coustou représentent

des scènes de chasse : un même

mouvement plein de fougue porte

les chasseurs en avant, au-dessus

de l’animal épuisé et affaissé,

et une même ardeur se peint

sur leur visage. La sérénité

classique, plus statique, fait place

à un art nouveau plus naturaliste,

plus animé.

Avec le soutien d’Arjowiggins

Graphic.

Collection «Solo»

Jean-Honoré

Fragonard,

Le Verrou

Guillaume Faroult.

En coédition avec Somogy,

nouvelle édition 2015.

54 pages, broché avec rabats,

14 x 21 cm, 35 illustrations.

ISBN: 978-2-75721-055-0

Distribution: UD.

9,70€

Exécutée à la fin des années 1770

pour un collectionneur réputé

et exigeant, cette peinture érotique,

apparemment légère mais affirmant

une ambition réelle, s’inscrit

dans tout un ensemble

de représentations amoureuses

parfois grivoises, éminemment

représentatives de l’esprit

de la société française à l’heure

où les Lumières vont bientôt

vaciller. Elle semble inaugurer

un renouvellement de l’inspiration

de Fragonard et de la peinture

française à l’unisson.

Collection «Solo»

MONOGr a P H i E S