Ingres (1780-1867), catalogue de l’exposition - sous la direction de Vincent Pomarède, Stéphane Guégan, Louis-Antoine Prat, Eric Bertin
Coédition Gallimard / musée du Louvre Editions, Format : 23 x 27 cm, 408 pages, 325 illustrations en couleurs, ISBN : 2-35031-051-5, 39,90 €, Diffusion : Sodis, Parution 16 février 2006
Le catalogue de l’exposition est conçu comme un ouvrage de référence, dépassant le seul cadre de l’exposition rétrospective consacrée à cet artiste majeur du XIXe siècle, et présente une synthèse et un bilan de la connaissance de l’oeuvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Les essais et le catalogue contenus dans l’ouvrage éclairent le travail d’un artiste complexe, contradictoire et parfois injustement étudié par les historiens de l’art et permettent à toutes les « écoles » de l’histoire de l’art actuelle, qui s’intéressent de manière unanime à l’œuvre d’Ingres, d’exprimer leur analyse et leurs commentaires sur ce peintre. Une importante bio chronologie due à Eric Bertin est publiée sur cédérom apporte un éclairage exceptionnel sur la vie et la carrière de l’artiste.
Ingres (1780-1867), album de l’exposition par Vincent Pomarède
Coédition Gallimard / musée du Louvre Editions, Format : 24 x 30 cm, 64 pages, 100 illustrations en couleurs, ISBN : 2-35031-052-3, 8 €, Diffusion : Sodis, Parution 16 février 2006
Destiné à un large public, l’album de l’exposition retrace les moments les plus importants de la carrière d’Ingres. Un texte synthétique accompagne les chefs-d’oeuvre de cet artiste et permet de les resituer dans leur contexte historique et artistique.
Le catalogue et l’album de l’exposition sont réalisés avec le soutien d’ARJOWIGGINS
Ingres « Je voudrais bien être ce révolutionnaire-là », par Stéphane Guégan, Collection Découvertes Gallimard
Coédition Gallimard / musée du Louvre Editions, Format : 12,5 x 17,8 cm, 160 pages, ISBN : 2-07-030870-7, 13,10 €, Diffusion : Sodis, Parution : 16 février 2006
Cet ouvrage nous propose une vision transversale de la création d’Ingres, l’homme de la ligne et de l’idéal, l’artiste adorateur de Raphaël, l’élève de David. Comment révolutionna-t-il finalement la peinture ? C’est ce que nous invite à découvrir Stéphane Guégan, l’un des commissaires de la rétrospective du Louvre.
La Grande Odalisque, par Dimitri Salmon, collaborateur scientifique au département des Peintures, Collection Solo
Coédition Réunion des musées, nationaux / musée du Louvre Editions, Format : 14 x 21,5 cm, 64 pages, 50 illustrations en couleurs, ISBN : 2-7118 85126-5, 13,50 €, Diffusion : Inter forum, Parution 24 février 2006
Sensuelle et universelle, tels sont sans doute les deux épithètes qui explicitent le mieux les intentions de La Grande Odalisque de Jean-Auguste-Dominique Ingres (Montauban, 1780-Paris, 1867). Nous pourrions adhérer à la pensée d’Henri Focillon, historien de l’art (1881-1943) lorsque ce dernier constatait qu’Ingres chérissait moins son Odalisque pour la qualité de sa chair, pour l’éclat de son épiderme (…), que parce que son corps est un rythme vivant. La Grande Odalisque incarne donc picturalement «la» femme, telle que la voyaient les poètes du XIXe siècle, cette «muse vénale», aussi infernale que divine, inspirant plus tard à Baudelaire ces trois mots qui s’identifient parfaitement aux intentions esthétiques intimes d’Ingres : «rythme, parfum, lueur…».
Déjà parus :
- dans la collection «Solo», Monsieur Bertin par Daniel Ternois, ISBN : 2-7118-3749-1, Octobre 1998
- dans la collection «Cabinet des dessins» Coédition 5 Continents / musée du Louvre Editions, Ingres par Louis-Antoine Prat, ISBN : 88-7439-098-X, Diffusion : volumen, Parution mars 2004
Ingres et après, par Stéphane Guégan, Dada - La Revue d’art pour les enfants à partir de 7 ans
Coédition musée du Louvre Editions / Editions Mango, Format : 21 x 24 cm, 22 pages, 6,50 €, N° 116 - janvier 2006
Ingres, un peintre classique, trop classique ? Si telle est l’image que vous en avez, vous serez surpris par ce numéro de Dada. Ingres apparaît aujourd’hui comme un artiste éminemment moderne, qui a exercé une influence décisive sur des artistes aussi divers que Degas, Gauguin, Picasso, Matisse, Bacon, Picabia ou Man Ray. A la manière de monsieur Jourdain, Ingres faisait de l’art moderne sans le savoir. Il aura légué à la postérité un grain de folie qui s’est transmis jusqu’à nos jours.