Images du Louvre - Dossiers documentaires
Taureaux ailés / Avec les élèves 16 3 Français, histoire, B2i (CM2-6 e ) hybrides et légendaires Dictionnaires et encyclopédie Base Atlas du Louvre: cartelfr.louvre.fr Traitement de texte Objectifs : aborder l’histoire de personnages hybrides mythologiques et leurs relations avec les humains ; réaliser un livret de parcours avec des œuvres du Louvre consacrées à ces personnages Après avoir étudié la figure complexe des lamassu et leur rôle de gardiens protecteurs du palais de Sargon, on demande aux élèves de citer d’autres êtres hybrides mythologiques célèbres. On retient ainsi cinq figures majeures : la sirène, la sphinge, le minotaure, le centaure, la méduse, toutes issues de la mythologie grecque. En petits groupes En petits groupes, à partir d’informations données par l’enseignant et trouvées dans des ouvrages (à la BCD ou au CDI), les élèves écrivent le récit de leur histoire et indiquent si ces figurines sont bénéfiques ou non. À partir de la base Atlas du Louvre, les élèves cherchent des représentations des animaux pour mettre leur récit en images. Les élèves réalisent enfin un livret de parcours : en salle informatique, les textes sont mis en page et on y intègre les œuvres du Louvre. Variante (6 e ) On envisage de faire les mêmes types de recherche et de travail autour de la figure du taureau. On peut retenir les figures suivantes : Io, Europe, le Minotaure, Mithra, saint Luc. 4 Histoire, français (6 e ) écriture , écritures Tablette de fondation du palais de Khorsabad, ancienne Doûr-Sharroukin Exemples d’écritures: cunéiformes, hiéroglyphes, alphabets phénicien, hébraïque, grec, latin, idéogrammes chinois Une carte du bassin méditerranéen (1) Site: bnf.fr Objectif : connaître les différents systèmes d’écriture du bassin méditerranéen ; comprendre les différents usages de l’écriture et le contexte de leur apparition Pourquoi et comment écrire ? On part du texte écrit sous le corps des lamassu, auquel on peut ajouter une tablette de cuivre, d’or et d’argent, trouvée dans les fondations du palais de Khorsabad et on s’intéresse au type d’écriture présent et à ses usages. Puis on généralise : Pourquoi écrire ? Communiquer, compter, légiférer, mémoriser… Comment écrire ? On dénombre trois grands systèmes : – idéographiques : un signe pour un objet (pictogramme) ou une idée (idéogramme). Des milliers de signes sont nécessaires, mais permettent d’être compris par des gens ne parlant pas la même langue. On peut alors faire un parallèle avec les pictogrammes utilisés actuellement dans des lieux fréquentés par des populations venues du monde entier (homme / femme, cafétéria, gare…) ou encore le code de la route ; – syllabiques : un signe pour un objet. On compte environ une centaine de signes ; – alphabétiques : un signe par son décomposé. Une trentaine de signes sont nécessaires. On montre aux élèves des exemples d’écritures antiques et récentes puis on identifie les différents systèmes utilisés. Enquête : d’où vient notre écriture ? À partir du site de la BnF (rubrique « les écritures »), on propose aux élèves de mener l’enquête et de remonter dans le temps, sur les traces de notre écriture, l’écriture latine. À chaque étape, on nomme l’écriture, son système et on localise sur la carte la région concernée. On relève également les supports utilisés. Enfin, on note les premiers signes de chaque écriture. 1. http://classes.bnf.fr/dossiecr/ca-cunei.htm
RkJQdWJsaXNoZXIy NDYwNjIy