Auditorium du Louvre
10
Vendredi 17 novembre, 20h DANSE AVEC DEBUSSY Secession Orchestra Clément Mao-Takacs, direction Claude Debussy Prélude à l’après-midi d’un faune Danse sacrée et Danse profane Danseuses de Delphes , Les fées sont d’exquises danseuses
,
La Danse de Puck , La Puerta del Vino , Minstrels , General Lavine – eccentric extraits des Préludes livres I et II Ballet extrait de la Petite Suite Passepied extrait de la Suite bergamasque Sarabande extrait de Pour le piano The Snow is Dancing extrait des Children’s Corner Mouvement extrait des Images livre I The Little Nigar L’Isle joyeuse La danse sous toutes ses formes dans l’œuvre de Debussy. Tel est le fil directeur choisi par le chef Clément Mao-Takacs, qui a orchestré toutes ces pièces
piochées dans les différents recueils pianistiques du compositeur. À l’affiche de ce bal imaginaire, des danses venues d’Espagne, d’Orient, d’Amérique ou du plus lointain monde des fées, mais aussi d’anciennes danses classiques revisitées, telle la Sarabande de Pour le piano , intitulée à l’origine « Souvenir du Louvre ». Inspiré par Mallarmé, dansé par Nijinski, le célèbre Prélude à l’après-midi d’un faune est également à l’affiche d’un concert propice aux correspondances entre les arts. Mercredi 22 novembre, 20h AUTOUR DES IMAGES Stephen Hough , piano Claude Debussy Images livre I et livre II Clair de lune extrait de la Suite bergamasque La Terrasse des audiences au clair de lune extrait des Préludes livre II Robert Schumann Fantaisie en ut majeur opus 17 Ludwig van Beethoven Sonate pour piano n° 23 en fa mineur opus 57 « Appassionata » Reconnu comme l’une des figures les plus importantes
du piano britannique, fort d’une discographique de
plus de cinquante titres, Stephen Hough est de retour
au Louvre pour un récital exceptionnel, mettant en
lien deux grands chevaux de bataille romantiques, la Sonate « Appassionata » et la Fantaisie de Schumann,
avec les Images de Debussy, deux recueils où le compositeur va chercher l’inspiration aussi bien dans
les bruits de la nature que dans les chefs-d’œuvre du passé.